La plateforme An Ka Ben, sous l’égide de Moussa Timbiné, a organisé le jeudi 5 juillet un meeting d’information à la Maison des jeunes de Bamako. Au cours duquel, le mouvement a décidé de soutenir la candidature d’Ibrahim Boubacar Kéita, le président sortant.
« Après une analyse objective de la situation sociopolitique de notre pays, a décidé à l’unanimité de soutenir la candidature du président de la République, Ibrahim Boubacar Kéita à la magistrature suprême lors du scrutin du 29 juillet » a introduit l’honorable Moussa Timbiné, pour rappeler solennellement que la Plateforme roule pour la réélection du président IBK.
A cet effet, le premier vice-président de l’Assemblée nationale a lancé un vibrant appel à toutes les Maliennes et à tous les Maliens pour une mobilisation jamais égalée afin d’assurer la réélection d’IBK à la tête du pays. La plateforme An Ka Ben, explique-t-il, demeure convaincue que le parachèvement de l’œuvre gigantesque entamée se fera dans la continuité au bénéfice des Maliens, de leur présent et de l’avenir de leurs enfants. « Nous appelons le peuple malien à soutenir la continuité du travail de développement jamais entrepris par ses prédécesseurs, à élire Ibrahim Boubacar Kéita pour un deuxième mandat », a renchéri le représentant du collectif des Maliens de l’extérieur de la plateforme An Ka Ben.
La jeunesse des groupes armés n’est pas restée en marge de l’évènement. Par la voie de son représentant, elle affirme clairement son approbation de la décision de la plateforme An Ka Ben de soutenir le candidat Ibrahim Boubacar à l’élection présidentielle.
L’un des faits marquants de la cérémonie a été l’adhésion au Rassemblement pour le Mali (Rpm) de Bengaly Guindo, ancien militant de l’Urd (principal parti d’opposition) et ancien président du Réseau des jeunes des partis politiques.
Par ailleurs, la plateforme An Ka Ben en appelle à toutes les communautés du Mali, particulièrement aux communautés sœurs du centre de notre pays pour qu’elles abandonnent la violence et se donnent la main pour un meilleur avenir commun.
Abdrahamane Sissoko
Source: Le Pays