C’est précisément à l’école primaire Opam I, dans un centre qui abrite 118 candidats, que le garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l’Homme Me Malick Coulibaly a procédé au lancement desdites épreuves.
Dans son intervention de circonstance, le directeur de l’école Opam I, Moussa Sangaré, a tenu à préciser : “Vous avez au DEF de cette année dans la Commune de Kaladougou, pour l’enseignement laïc, on compte 118 candidats. La particularité cette année, c’est la décentralisation de l’examen d’entrée en 10e, que nous appelons maintenant le diplôme de fin d’étude élémentaire. Et, si vous réussissez cette année, le lycée sera aussi facile. Autre particularité, c’est le fait que les structures déconcentrées soient dotées de matériels informatiques. Nous avons des cadres qui ont été formés pour procéder à la saisie des notes. Cette décentralisation va aussi avec des moyens et ces moyens ont été mis à notre disposition. Et, nous avons reçu tout le matériel à temps pour que ces examens se déroulent dans de bonnes conditions”.
De son côté, le ministre Malick Coulibaly s’est réjoui en ces termes : “C’est avec beaucoup de satisfaction que j’ai constaté que dans la salle qu’il y a eu le lancement des épreuves de la rédaction. Vous êtes les futurs cadres de ce pays. Et vous devez respecter les consignes des surveillants. Cela est un chapeau que nous tirons à tout le système éducatif, les parents d’élèves en particulier pour que cet effort soit soutenu et continuel pour le salut de notre nation. Parce que tout le monde sait que c’est sur la jeune fille que reposait un peu le fardeau de notre société. Nous leur avons conseillé d’être plus décontractés et détendus de faire face avec beaucoup de sérénité à des exercices”. Il a également notifié que l’État malien est et restera avec chaque malien et compte sur tous ses fils dans le défis du développement.
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