Pour le parlementaire, malgré l’implication occidentale la situation sécuritaire ne faisant qu’empirer au Mali comme au Burkina Faso. “Il convient de chercher d’autres alternatives”, prône-t-il, que celles-ci s’inscrivent dans une coopération étatique ou une approche d’un autre ordre, comme avec des entités privées, y compris le groupe Wagner.
Quand à cela, le ministre de l’Administration territoriale Clément Sawadogo a récemment affirmé sur les ondes de la radio privée Oméga que “le débat actuellement au Mali sur la question de [la société privée russe] Wagner ne se pose pas au Burkina Faso”, ajoutant qu'”il appartient au peuple malien de se décider de son avenir.”