L’honorable Moussa Mara, a rendu visite à la famille fondatrice de Bamako hier mardi 16 juin 2020 en compagnie d’une délégation de son parti « Yéléma » (Le Changement). Face à la crise socio- politique actuelle, l’ancien Premier Ministre du Président IBK a choisi d’aller échanger pour trouver des “voies et moyens permettant de stabiliser le Mali’’, a-t-il annoncé sur sa page Facebook.
A la recherche des solutions à la tension socio-politique actuelle, l’honorable Moussa Mara a rendu visite aux familles fondatrices de Bamako. Sur sa page Facebook, le Président du Parti « Yéléma » a
“rendu visite aux familles fondatrices de Bamako pour échanger avec elles sur la situation socio -politique du pays ainsi que des voies et moyens permettant de stabiliser le Mali “, a annoncé sur sa page Moussa Mara, l’élu de la commune IV hier.
Il a eu lors des échanges, des “discussions franches et sincères sans langue de bois“ avec les patriarches des familles fondatrices. Car, pour l’ancien Premier Ministre, cette crise demande l’implication de tous les citoyens : “Impliquons-nous tous pour sauver le pays“, a-t-il dit. Bien avant cette rencontre avec les familles fondatrices de Bamako, le deuxième Premier Ministre du Président IBK s’est prononcé sur le récent Discours à la Nation du Président de la République. Il estime que ce Discours à la Nation du dimanche 14 juin 2020 n’est
“pas à la hauteur de la profondeur de la Crise, le Président peut et doit mieux faire ! “.
Crainte d’une radicalisation des positions
Selon l’honorable Moussa Mara, le Chef de l’état aurait dû annoncer des décisions répondant aux “récriminations“ pour éviter de « verser l’huile sur le feu ».
“Je crains que les mesures annoncées par le chef de l’État ne contribuent au contraire à radicaliser encore plus les positions de ceux qui réclament son départ et donc à tendre davantage le climat socio-politique“, a-t-il dit, faisant comprendre qu’il ne pense pas que ce discours ait été à la “hauteur des enjeux pour apporter une réponse à l’extraordinaire exaspération de nos compatriotes“.
De l’avis de Moussa Mara, (…)
RETROUVEZ L’INTÉGRALITÉ DE L’ARTICLE DANS LA PARUTION DU MERCREDI 17 JUIN 2020
KADOASSO.I