Dimanche, érigé en jour de mariages par excellence et quelques jeudi, nous assistons à une journée hors la loi non seulement sur les artères principales et dans les rues de Bamako, mais aussi, et surtout dans les carrés.
Justement, dans les carrés et, très généralement, devant les maisons des mariés (époux et épouses), c’est bien l’abus et le dérangement des passants, surtout les voisins qui sont contraints d’endurer toute une journée les bruits de tam-tam, des baladins ou des « zikiris » et des « balanin show ». Il n’y a point de passage pour les membres des familles voisines aussi bien qu’aux autres usagers de la rue ou du carré à cause de ces festivités de mariage qui s’y déroulent.
En somme, la situation relative à de tels comportements doit être revue. À défaut d’être interdite purement et simplement, elle doit être règlementée et bien organisée par les autorités compétentes.
Le fouineur
Le Combat