Le sénateur et ancien ministre de la Défense assure que le « risque d’engrenage » en Centrafrique est « réel ».
« Dans une affaire comme celle-là, très difficile, dans pays où l’État n’a jamais existé et où les structures de l’autorité se sont effondrées, il y a un devoir d’action plus que d’assistance », assure Jean-Pierre Chevènement au micro de RTL, mercredi 26 février.
« Le risque d’engrenage est réel », estime le sénateur (MRC) du territoire de Belfort, qui a voté mardi la prolongation de l’opération Sangaris en Centrafrique « comme l’ensemble des sénateurs de [son] groupe ».
Selon lui, « la perspective de la mise en œuvre d’une opération de maintien de la paix de l’ONU est le terme logique de l’intervention française.
SOURCE / RTL