Si l’honorable Aliou Boubacar Diallo de l’ADP-Maliba a pu extérioriser sa peur d’une éventuelle dissolution de l’Assemblée Nationale en nous tympanisant que « les Kayésiens ne veulent pas en entendre parler », plusieurs autres députés ont aujourd’hui le cœur qui bat la chamade ! M. Diallo veut demeurer député pour les 5 ans à venir car « pour soigner une plaie sur le corps du malade, on ne tue pas le malade ». Sauf qu’il oublie qu’on peut lui faire une anesthésie générale ou partielle !
Si donc, l’on dissout l’Assemblée Nationale ou qu’IBK opte pour des législatives partielles dans les circonscriptions à problème, l’on peut craindre pour la …santé de certains de nos députés ! Ne sont-ils pas nombreux à avoir souscrit des prêts auprès des banques de la place pour diverses réalisations ? Attention aux cardiaques, hein !
Bruno D S
Mali- Horizon