Lors de sa dernière apparition sur les pages de l’hebdomadaire continental ‘Jeune Afrique´, le président malien n’est pas passé par quatre chemin pour voler au secours de son fils Karim Keita, contre les mauvaises langues qui lui imputent chaque mauvais coup dans le pays et l’accusent de tous les péchés d’Israël.
Pour IBK, l’unique tort de son fils et président de la commission ‘Défense´ c’est d’avoir remporté la compétition législative contre un ténor politique de la Commune II.
Le hic est que dans le microcosme politique de la capitale, les acteurs n’arrêtent pas de creuser la tête pour trouver le «ténor » aux dépens de qui Karim a gagné les législatives et qui n’existe visiblement que dans l’imagination du père. C’est pourquoi beaucoup en ont déduit que sa sortie n’est pas différente de celle du ministre Bathily au profit de son fils Ras Bath qu’il s’est dit prêt à nourrir dans son sein même s’il était un serpent.
Par Le Témoin