A la veille de la réunion des ministres de la santé du G7, l’ONG One propose un classement non-exhaustif des dix chiffres et comparaisons les plus dérangeants sur le Sida, le paludisme et la tuberculose, maladies évitables les plus meurtrières de notre époque, contre lesquelles le combat est encore loin d’être gagné.
En 2019, dans le monde, le Sida est encore la première cause de mortalité chez les femmes de moins de 50 ans. Depuis le référendum sur le Brexit, 7,3 millions de personnes sont décédées des suites du Sida, du paludisme et de la tuberculose. D’ailleurs, les moustiques ont fait plus de victimes depuis 1990 que toutes les guerres depuis le XVe siècle, et les orphelins du Sida sont plus nombreux que les Parisiens.
One a choisi 10 chiffres aberrants, parfois absurdes, qui choquent ou ne choquent plus comme ils le faisaient au début des épidémies, pour former un classement non-exhaustif des chiffres qui pourraient faire la une en cette semaine où la santé mondiale sera à l’ordre du jour.
Autonomisation des adolescentes et des jeunes femmes par l’éducation au Mali
La mission avait pour objectif de rencontrer et échanger avec l’équipe technique du projet au Mali, ainsi que les différents partenaires nationaux (ministère et services déconcentrés), les agences (Unesco, Onu Femmes, Unfpa), les partenaires de mise en œuvre (ONG) et les bénéficiaires. Il était aussi question de visiter les réalisations effectuées à mi-parcours dans le cadre du projet, et constater la complémentarité entre les projets (Unesco et Unicef) financés par l’Agence coréenne de Coopération internationale (Koica) au Mali.
La délégation était composée des membres du ministère de l’Education nationale du Mali, de la Division scolarisation des Filles (Scofi), du Bureau régional de l’Agence coréenne de Coopération internationale (Koica-Dakar), de l’Unesco à Paris, et les bureaux de l’Unesco et d’Onu Femmes au Mali.
La région de Ségou fut la première étape de la mission. La délégation a rencontré le directeur de l’Académie d’enseignement (AE) de Ségou et de San, les directeurs des Centres d’animation pédagogique.
Source: Mali Tribune