Au moment où l’ensemble du peuple malien scrute les pistes de solutions de sortie de crise proposées par le très vénérable Chérif de Nioro, comme si elle était sur une autre planète, l’ONU nous pond un rapport avec des mises en cause aussi farfelues qu’inamicales. En pointant du doigt l’armée malienne comme à son habitude, et plus encore cette fois-ci les services de renseignements, les Nations unies font dans le dilatoire et la manipulation grossière. Comme si elle voulait apporter des griefs supplémentaires à la contestation qui sévit depuis trois mois, l’ONU indexe le président IBK comme étant le responsable du blocage de la mise en œuvre du plan de partition du pays. Car en accusant les services secrets maliens, qui relèvent de la présidence, les Nations unies s’en prennent, sans le nommer directement, à IBK lui-même. Des retards dans la mise en œuvre de l’Accord, aujourd’hui l’ONU crie à l’entrave et au blocage pur et simple de l’Accord. La sécurité d’État relevant de la présidence de la République de laquelle elle prenne ordres et directives, c’est cette dernière donc le préside IBK lui-même que l’ONU veut sanctionner.
Or, sur le sujet, l’ONU semble comme d’habitude prêcher dans le désert. La plupart des Maliens font bloc derrière les boucs émissaires (les deux généraux et le député), et la vraie cible (IBK) dont le crime est d’avoir été patriote, de refuser d’appliquer le plan division du Mali.
Boubacar Koumare : Rapport de l’ONU : rapport à la con.
Soutien total au général Kéba Sangaré et au General Moussa Diawara.
Ce n’est pas la drogue que la SE convoie ou protège la mafia de la drogue, mais elle a des usines de production, de commercialisation et des centres de consommation.
Tchurrrrrrrrr, si ces experts étaient sincères, ils auraient pu nous faire anticiper sur les attaques terroristes qui hantent nos sommeils.
Moses Moussa : Quand les populations se révoltent contre la Minusma à Gao ou à Sevaré, Boua et les affaires étrangères sortent pour nous recadrer, maintenant c’est le tour de la population de recadrer aussi les autorités. Ce n’est que le match retour.
Amadou Koumare : Attention ! Nous Maliens, que ça ne soit pas à l’école de caméléon ni la politique de diviser pour mieux régner ! À l’ère où nous sommes, le Mali n’a pas besoin qu’on indexe x ou y pour faire porter le chapeau, loin sans faux, ça serait une consternation. Ces exactions, ces armes, ces trafics ont toujours existé depuis de belle lurette ! Ceux à qui nous le croyons amis sont aussi pervers, arrivistes et mercantiles. Héee, Maliens, ‘’Ni ye i ka wulujugu faa, dô ta bè i Kin’’.
Lassana Keita : Mille fois soutien inconditionnel à nos généraux ! L’ONU est blanche !
Nous sommes loin d’être les plus gros malfaiteurs de la terre !
Aly Barry : Nous attendons un démenti du gouvernement à la hauteur de l’accusation gravissime comme TD sait bien le faire.
Sounk Tao Coul : quand j’ai vu le rapport, je me suis posé une seule question : comment peuvent-ils parrainer un trafic de drogue dans une zone qu’ils ne contrôlent même pas ?
Issiaka Malien lambda : Raison d’État !
Général, même demain, si des égarés viennent à menacer l’unité nationale, la forme laïque et républicaine du pays de tes ailleux, usent de tous les moyens possibles pour les torpiller. La postérité jugera. Et le jour où la France dira que tu es bon comme un Bokassa, sache que tu es un vendu.
Tjikan Dila : Mettez ça dans vos têtes, une bonne fois. Lorsque les médias français RFI, France 24, TV5, etc. s’en prennent à un dirigeant ou un cadre africain ; ne cherchent pas loin. C’est que ce dernier a mis les intérêts de son pays au-dessus de tout. Il fait barrières aux actions des néocolonialistes alors il faut l’abattre à tout prix. Le général Moussa Diawara n’est pas un «saint» ; mais il travaille efficacement pour ce pays. Vive mon général.
Mali Nyeta : Je suis très heureux de voir que lorsque les intérêts du pays sont menacés ; les fils du pays se mettent ensemble pour le défendre. Pourquoi attendre ce moment de contestation du président IBK pour lancer une telle rumeur contre la sécurité d’État. Les ennemis du pays et du président IBK savent que tant que le général Diawara sera aux affaires ; leurs complots contre le pays et le président IBK seront mis en échec. Alors, ils veulent l’abattre, mais c’est une balle tirée dans l’eau.
Inna Manassa : Le peuple malien doit faire extrêmement attention, car les ennemies de la nation malienne sont à l’œuvre et nous devons être plus que jamais unis contre ces personnes qui ne cherchent qu’une seule chose, mettre les Maliens en conflit entre eux pour mieux pouvoir profiter de nous. Donc, il nous revient d’être plus que jamais soudés, main dans la main pour leur barrer la route. Et pour cela, nous faisons confiance aux Maliens.
Bijou Dicko : Nous voyons que le spécial général Moussa est ciblé par ces escrocs de la France parce qu’il préfère mettre les intérêts du Mali au-dessus de tout et c’est tout. Mais nous ne sommes pas dupes.
Mohamadou Camara : Ce sont des menteurs, ils viennent créer des problèmes entre nous-mêmes. Il faut que le peuple malien se débarrasse de la politique française sinon…. etc.
Ibrahima Diawara : Pour la première fois, je suis entièrement d’accord avec toi, Seydou Traoré.
Brehima Traore : Cette fois-ci, quand même, je soutiens Moussa Diawara. La France veut le nuire parce qu’il ne fait pas leur affaire.
Je suis Moussa Diawara.
Fabrice Yatassaye : Voilà un autre mensonge de l’ONU relayé par la fausse RADIO djahiri de RFI. J’aimerais dire aux ennemis du GÉNÉRAL DIAWARA qu’ils ne réussiront pas à le déstabiliser.
Bakary Doumbia : Attention aux manœuvres déstabilisatrices de l’ennemi extérieur. Les dissensions internes ne doivent pas nous pousser à aider l’ennemi commun contre l’un des nôtres. Le linge sale se lave en famille. Ces informations doivent être rigoureusement vérifiées.
Sounk Tao Coul : L’ONU aussi n’est pas fiable, c’est peut-être parce que le gars les empêche d’appliquer cet accord qu’ils le calomnient de la sorte. On se donnera le temps pour comprendre.
Lassina Diourte : Il faudra qu’on arrête de croire à des dires provenant de la France ou de l’ONU, en quoi la SE peut où être en connivence avec les narcotiques sur un territoire qu’elle ne contrôle pas ?
Gabriel Tienou : Moi, je me réjouis qu’ils aient compris que cette armée dite reconstituée n’est qu’un moyen pour affaiblir davantage l’État du Mali. Quant aux dissidences dans les rangs du Mnla, je trouve que Diawara a bien travaillé. Cependant, le cas d’Ogoussagou, je rappelle que le Qg de la Minusma était en ce moment à Mopti pourquoi n’a-t-elle pas pu intervenir sachant bien que l’armée malienne était en difficulté ? Elle aurait pu prêter main-forte aux populations pour éviter le drame. J’oubliais, elle n’est pas là pour faire la guerre aux terroristes.
Sekou Yalcouye : Bravo les généraux Kéba Sangaré et Moussa Diawara de la Sécurité d’État. Et, oui je n’ai plus peur, puisque le Mali a des militaires valeureux prêts à mourir pour la patrie.
Issiaka Malien Lamda : Je vois maintenant pourquoi la question de l’indépendance de l’azawad n’est plus à l’ordre du jour. La DGSE a joué son rôle qui a permis l’émiettement des enfants égarés de la République. Je vois enfin pourquoi un rebelle du nord Mali n’est plus belligérant à un soldat malien. Bani lada !
Sekou Yalcouye : Des chantages de la diffamation, de l’intoxication, des chimères, ces officiers sont des patriotes des dignes fils et nul ne peut les compromettre et gare à celui qui les touche et nous nous soulèverons. Ils sont nos Fama, nos enfants très précieux.
Massa Doumbia : Dit à l’ONU de faire le rapport de sa présence au Mali et des tueries de la population civile au centre.
Boubacar Yattara : de quoi je me mêle ? C’est le même tac-tic que l’ONU fait pour camper encore ici. La fin de cette mission n’est même pas dans leur agenda.
Ibrahim Toure : Si c’est vrai, c’est que la DGSE a fait du bon taff, ça bouge là-bas. Terrible, ce qui s’est passé à Ogosagou. Plus jamais ça. Force à nos FAMAS.
Idrissa Namake Keita : En tout cas, une chose est claire, seuls les dignes fils sont accusés par ces gens-là, il faut vraiment qu’on sache lire entre les lignes. Ils accusent nos hauts gradés et pendants tout ce temps eux étaient où avec tous leurs moyens (matériels et humains) ils ont fait quoi ?
Tiéni Gbanani : Félicitations à la DGSE. Voilà ce qui fait que l’insécurité gagne du terrain. Les complices sont de taille, et c’est ceux-là mêmes qui sont nos principaux protecteurs qui complotent contre nous. C’est dommage.
Aboubakar Konate : Le peuple malien espère que ce rapport de l’ONU mentionne aussi que depuis l’arrivée au Mali des forces françaises, Barkhanes et Onusiennes, Minusma, les 75% du Territoire échappent au Pouvoir central du Mali ?
Par Conséquent, doivent être sanctionnés Annadif de la Minusma, Antonio Gutteres de l’ONU et Françoise Parly, ministres de la Défense de la France qui ont mis le Mali sous tutelle française.
Ils sont solidairement responsables de l’insécurité qui prévaut au Mali aujourd’hui, à cause de leur fameux Accord dit d’Alger.
Source : INFO-MATIN