Pour éviter de casser le mouvement panafricain il faut ne pas fréquenter les ennemis. C’est a dire ne pas chercher à gouverner ni s’attaque au peuple.
L’ennemi le plus coriace c’est l’ignorance du peuple qui a chaque fois jubile pour célébrer la victoire de leur oppresseur.
Pour éviter l’échec créerons notre propre champ. Et pour cela il ne s’agit pas de convaincre, Mais de remplacer les individus par une nouvelle génération. On ne change pas des adultes, on prépare les enfants. Ce qui fait que la durée de vie de l’œuvre dépasse la durée de vie des ouvriers. Une fois ceci connu. Les panafricain trouveront une nouvelle méthode basée sur la rationalité. D’où l’importance de la méthode d’endoctrinement qui change les mentalités. Aussi bien les futurs gouvernants que le peuple seront aptes à accepter l’idée d’unité s’ils sont nés dans un environnement où on leur répète tout le temps l’importance de celle-ci. Ainsi il n’y aura plus d’ennemis intérieur et l’ennemi extérieur peinera a trouver le maillon faible.
Ce la nécessite deux principes :
–Principe de sécurité
–Principe de continuité
C’est comme un arbre, il Y’a la sécurité car la graine (doctrine) est enfuie sous terre (esprit) et de la racine (sécurité) jusqu’au feuilles il Y’a la sève qui coule continuellement en passant par la tige, les branches, les feuilles (continuité)