C’est ce qui ressort du rapport sur la situation des droits de l’homme, établi par la MINUSMA durant le dernier trimestre 2020. En effet, sur les 378 violations et abus des droits de l’homme, commis durant cette période, la MINUSMA a recensé 96 personnes tuées, dont 7 enfants et 8 femmes.
Ce qui est étrange dans ce document, c’est le fait qu’aucune force étrangère, présente au Mali, n’a été citée parmi les auteurs de ces crimes.
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Source : l’Indépendant