Il est clair que pour Barkhane, la situation du nord du Mali en général est très complexe, de Gao à Ménaka, à Kidal et Tessalit.
Un risque d’enlisement est-il à craindre pour la force française si les violences inter-communautaires ne cessent pas très vite ? Ce cycle violences-représailles fait le lit des jihadistes affiliés à Iyad Ag Ghali qui se nourrissent de la déliquescence de l’Etat et du chaos. Pour le chercheur et spécialiste du Mali, André Marty, Barkhane joue gros dans son alliance sur le terrain avec des groupes d’autodéfense comme le Gatia, le MSA etc.
RFI