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FACE A LA CRISE POLITICO-SOCIALE, SÉCURITAIRE ET EDUCATIVE DU PAYS Le président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme du Mali (CNDH), invite les Maliens à prioriser le dialogue

Suite à la recrudescence des différentes crises qui menacent le pouvoir d’IBK, M. Aguibou Bouaré, Président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme du (CNDH) à travers une vidéo apporte sa modeste contribution, à travers non seulement des recommandations pour pérenniser les droits humains et cette période de manifestation, mais aussi invite les Maliens à prioriser le dialogue afin d’éviter le chaos.

 

Il s’agissait pour le président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme du Mali à travers sa vidéo d’informer la population malienne sur les différentes violations des Droits de l’Homme que le pays a connu depuis le début de la crise et les inviter au dialogue et au calme pour décrisper le climat social. Dans son entretien, M. Aguibou Bouaré, Président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme du (CNDH) a rappelé que depuis 2012, notre pays est confronté aux multiples problèmes qui affectent durablement le pays. Il s’agit notamment de la crise du Nord et du centre, entrainant par la même occasion des agressions contre l’armée malienne.

« Cette commission a été mise en place pour la défense des droits de l’Homme. Si ces droits sont menacés, la commission doit apporter sa modeste contribution à travers des conseils pour empêcher le chaos dans le pays », a-t-il ajouté. Aussi, signale-t-il, « notre pays vit dans   cette situation chaotique à cause d’une grande trahison à laquelle s’ajoutent le terrorisme, le conflit intercommunautaire avec son corollaire de mort, entrainant, une violation grave des Droits Humains dont le droit à la vie, (tout individu a droit à la vie), le droit à l’éducation, (nos enfants ne partent pas à l’école depuis un certain temps), le droit à la santé. Le gouvernement du Mali doit renforcer et réhabiliter les structures sanitaires pour que chaque citoyen pusse jouir du droit à la santé. « Ces différents droits ne sont pas à la hauteur des souhaits des maliens » a-t-il constaté. « En dépit de (…)

RETROUVEZ L’INTÉGRALITÉ DE L’ARTICLE DANS LA PARUTION DU VENDREDI 19 JUIN 2020

Abdoul Karim SANOGO

NOUVEL HORIZON

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