Et face à la perte de ces valeurs ancestrales et ses conséquences de l’excision, des exciseuses dans le cercle de Dioïla ont déposé les couteaux. Parmi elles, Mme Sangaré Kouradjè Traoré. Son portrait est réalisé dans le cadre du projet promotion droit des femmes de Studio Tamani en partenariat avec l’IMRAP et avec l’appui financier de l’Union Européenne.
Source: studiotamani