Retour sur la mort de 12 détenus à la gendarmerie de Tanwalbougou au Burkina Faso, après leur interpellation avec 13 autres personnes dans un marché local pour suspicion de terrorisme.
La Commission nationale des droits humains a affirmé que ces suspects avaient subi des actes de tortures. Libérés début juin par la justice -qui n’a retenu aucune charge contre eux- les rescapés confirment, au micro du correspondant Lamine Traoré, que leurs anciens co-détenus ont été torturés à mort.
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