« 80% des victimes n’ont pas reçu d’assistance », affirme El hadj Garba Touré. Selon le président de l’association des victimes de la répression des mouvements armés à Tombouctou dénommée « Hinni-Mali », la problématique de réconciliation est conditionnée à l’interpellation des bourreaux pendant l’occupation de la ville de Tombouctou.
Cette production est réalisée dans le cadre du projet “Droit des femmes” de Studio Tamani en partenariat avec IMRAP, financé par l’Union Européenne.
Source: studiotamani