Telles sont les affirmations d’un proche de l’ex-couple Modibo Gaucher et Madjaré Dramé. Selon lui, cette affaire a commencé au Burkina Faso où le guitariste a été frappé par des loubards payés par la compagne lesbienne de Madjaré Dramé.
Il y a un peu plus d’un mois, le célèbre guitariste Modibo Gaucher avait payé des jeunes pour insulter son épouse sur scène. A la suite de cet incident, la nouvelle a fait le tour de Bamako, relayée par la presse concernant l’un des couples les plus glamours dans le milieu des Niamakalas.
Selon un proche du couple que nous avons rencontré : « Modibo Gaucher a quitté Madjaré Dramé il y a très longtemps. Ils ne vivaient plus ensemble depuis des mois à cause des mauvaises fréquentations de cette dernière qui préféraient les femmes. Il y a quelque temps, le couple était au Burkina Faso pour un spectacle sur l’invitation d’une Jatigi. Malheureusement, il s’est trouvé que cette Jatigi de Madjaré était la compagne lesbienne de Madjaré Dramé.
Après le spectacle, un plan B a été mis sur pied, car la compagne de Madjaré pensait que sa copine allait venir toute seule sans être accompagnée par son époux Modibo Gaucher. En voyant Modibo Gaucher, l’invitée de Madjaré fut saisie d’une jalousie excessive.
C’est ainsi qu’elle a payé des loubards pour tabasser son rival Modibo Gaucher pour la simple raison qu’il était avec sa bien aimée Madjaré Dramé. La complicité entre les deux dames a permis à Mobibo Gaucher de découvrir la face cachée de son épouse.
Le célèbre guitariste, impuissant face à l’humiliation qu’il a subie, n’a eu d’autre choix que de se séparer de Madjaré. Pour se venger, il a payé, à son tour, des jeunes pour humilier sa femme sur scène au palais de la Culture ».
On se souvient que lors du passage de Madjaré Dramé sur scène pour son show à l’occasion du concert Sambé Sambé, une centaine de jeunes présents dans la salle ont proféré des propos injurieux envers elle, puis ses parents.
Ils l’ont, entre autres méchancetés, traitée de « Soungourouba » (prostituée) et de lesbienne avant de prendre la fuite. C’était, assure-t-on la vengeance que Modibo Gaucher avait préparée pour laver l’affront qu’il a subi au Burkina Faso.
M C