Fatoumata Maïga, une vendeuse de boutique au quartier Attbougou de San, c’est l’identité de cette jeune dame dont le corps sans vie a été retrouvé dans la nuit du vendredi au samedi 6 novembre devant son commerce. Le constat du médecin légiste est sans appel sur la confirmation du décès de la demoiselle depuis plus de 8 heures, suite à une hémorragie crânienne. Une enquête a été illico ouverte par le Commissaire divisionnaire Mamby Traoré, du Commissariat de police de San pour déterminer les causes de cet assassinat immoral.
Fille de Abdallah et de Mariam Touré, Fatoumata Maïga vivant chez ses parents au quartier Attbougou de Bamako, gérante d’une boutique a été retrouvée morte, le corps gisant dans le sang par les éléments du commissariat de police de San, suite à une information donnée par des enfants. Tout travail cessant, le Commissaire divisionnaire Mamby Traoré, chargé du Commissariat de police de San a fait appel à un médecin légiste pour faire le constat du corps avant son transport à la morgue.
Selon nos informations, le constat établi par le médecin légiste M. Traoré du CSRF de San est sans appel : le décès est confirmé de plus de 8h de temps, suite à une hémorragie crânienne. Ainsi, le corps sans vie de la jeune dame, Fatoumata Maïga a été admis à la morgue de la ville, avant son inhumation.
Au niveau du commissariat de police de San, sur instruction du Procureur de la République, près le Tribunal de Grande Instance de San, une enquête a été ouverte pour faire toute la lumière sur ce cas d’assassinat crapuleux et mettre hors d’état de nuire le ou les auteurs et leurs complices. C’est la promesse faite par le Commissaire Mamby Traoré, qui reste un officier de police très doué en enquêtes, surtout concernant les cas d’assassinat. Sur ce chapitre, ses prouesses lors de son passage à Sevaré sont toujours reconnues.
D’ores et déjà, ses hommes ont été engagés sur le terrain à cet effet. Et la collaboration de la population sera un gage de succès afin que l’enquête ouverte soit couronnée de succès. Vivement l’arrestation des auteurs de ce crime contre une pauvre vendeuse.
M Sissoko
Source: Le Sursaut