Les 25 et 26 décembre 2021, le Palais des sports Salamatou Maïga de l’ACI 2000 a abrité les activités de la première édition du Salon National de la Gymnastique organisé par la Fédération Malienne de Gymnastique (FEMAGYM). Il avait comme parrain et marraine, respectivement le Ministre de la Jeunesse et des Sports, chargé de l’Institution civique et de la Construction citoyenne, Mossa Ag Attaher, Fatoumata M’Barka, Mint Hamoudy, etc. Des participants sont venus du Mali, de la France, de la Côte d’Ivoire, pour rehausser l’éclat de l’événement.
Le président de la Femagym, Drissa Kamaté, a indiqué que ce salon se voulait un cadre de promotion et de vulgarisation de la pratique Gymnastique, des équipements gymniques, des structures et des organisations en charge de l’encadrement de la Gymnastique, mais aussi véhiculer des messages de paix, de cohésion sociale et de citoyenneté. C’est la raison pour laquelle une conférence sera faite sur le sport et paix. Selon lui, il s’agit ensuite de faire de ce salon un crédo pour dénicher les pépites gymnastes nationales et de la diaspora afin de mieux préparer les compétitions africaines et les jeux olympiques à venir.
Placé sous le thème « le sport au cœur d’une transition réussie pour un Mali apaisé », le dit évènement visait à faire de la gymnastique un vecteur de fédération des fils du pays autour des valeurs républicaines comme le patriotisme, l’entente. « C’est la raison pour laquelle, indépendamment des activités sportives, nous voulons faire de cette rencontre sportive un espace de citoyenneté sur des thématiques de paix, de réconciliation, de cohésion sociale. A ce titre, une conférence sera animée par les éminents panélistes sur le thème : Sport et Paix », a-t-il dit.
Le département des sports, le comité national olympique et sportif du Mali (Cnosm), et autres soutiens ont été vivement remerciés par Drissa Kamaté, pour leur soutien, assistance, accompagnement à leurs côtés. Des attestations et diplômes de connaissance ont été remis à des participants et des personnalités par la FEMAGYM.
Hadama B. Fofana
Source: Le Républicain