Avant, pratiquement chaque famille avait son djeli. Son rôle variait d’un événement à un autre. Il était un membre à part entière de la famille. Connaissait toute la lignée familiale et ne tarissait pas d’éloges quand il fallait galvaniser ces derniers. Aujourd’hui, cette relation semble changer. À cause des considérations financières, déplorent des observateurs.