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Relation amoureuse entre militaires français à Gao

L’affaire du soldat français tué par un tir ami demeure encore confuse. Beaucoup de zones d’ombre existent autour de cette histoire de tir ami. La thèse du ‘soldat français tué à Gao au cours d’un exercice’ semble ne pas tenir la route. Il nous revient que ce soldat français aurait été tué en fin août 2015 par sa copine (lieutenant) qui n’appréciait guère et supportait mal la fin de leur idylle. Suite au meurtre qualifié d’assassinat, elle a été immédiatement conduite à Paris.

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Cette relation amoureuse en cache tant d’autres, selon nos sources. En plus des fillettes de Gao, et autres grandes dames qui vivent avec les casques bleus et les soldats étrangers, il y a un vrai business autour du sexe qui ne dit pas son nom. Les proxénètes et autres professionnelles du sexe sont en train de ruer vers les villes du nord, surtout Tombouctou et Gao qui sont pour le moment faciles d’accès. Mais il y a aussi des femmes qui font la navette entre Gao et Kidal, soit par route ou par avion. L’autre face de la guerre au Mali.

Les voix d’Anefis

La journée du samedi 5 septembre 2015 et celle du vendredi 4 septembre ont été chaudes à Anefis. Ce sont des populations en colère qui sont sorties pour accueillir la délégation de la Plateforme. Elles ont dit clairement être opposées à tout retrait des combattants de la Plateforme de leur localité.

Plusieurs jeunes, femmes et autres habitants avaient pris d’assaut la place publique de la localité. Selon Baka Ould Moulaye de la jeunesse d’Anefis : “Nous avons été victimes de la méthode de la CMA, on ne pouvait pas sortir, on faisait plus la foire hebdomadaire, les véhicules qui passaient ici payaient entre 20000 à 50000 FCFA par passage, on était à la merci de la CMA.

Maintenant nous voulons le minimum de garantie de la part des autorités de notre pays. Nous avons entendu le message du président IBK, mais nous vivons la réalité du terrain, qu’il nous comprenne aussi, nous sommes des Maliens comme lui”. Comme pour dire que ce sont les réalités du terrain qui commandent.

Source: Le Reporter

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