Malgré la présence renforcée des forces de sécurité lors de la présidentielle organisée au Mali, dimanche 29 juillet, des jihadistes ont commis des actes de violences dans le nord et le centre. Les électeurs se sont également peu mobilisés.
Le bilan du scrutin présidentiel de dimanche au Mali en demi teinte. Considéré comme crucial pour l’accord de paix de 2015, le vote a été marqué dimanche 29 juillet dans plusieurs zones du nord et du centre par des attaques jihadistes présumées et une faible affluence. Le taux de participation n’était pas connu dans l’immédiat mais s’annonçait faible, selon les premières constatations d’observateurs électoraux et de journalistes de l’AFP.