Unanimement saluée par la communauté internationale pour sa qualité malgré des imperfections mineures, le Mali peut être fier d’avoir montré à la communauté internationale un visage positif. Cette réussite confirme l’évidence du redressement du Mali par le président IBK. Mais aussi le vrai visage d’une opposition irresponsable, qui attise la haine.
La catastrophe promise n’a pas eu lieu et les pronostics des oiseaux de mauvaise augure ont été largement déjoués. Que l’on soit de l’opposition ou de la mouvance, l’on peut reconnaître et saluer en tant que Malien, la qualité d’organisation de l’élection présidentielle.
Sans attendre, le département des opérations de maintien de la paix des Nations Unies a indiqué que l’élection présidentielle au Mali organisée dimanche s’est déroulée “de manière pacifique” dans l’ensemble déclarait le porte-parole adjoint du secrétaire général des Nations Unies, Farhan Haq, lors d’un point de presse. “ Aucune victime ou dommage n’a été signalé”, a-t-il précisé. Pour cette “élection capitale marquée par d’importants défis organisationnels et sécuritaires”, pour reprendre les mots de la chef des observateurs de l’Union Européenne dépéchés à Bamako, Cécile Kyenge, l’on peut tirer un chapeau aux organes qui ont mis les bouchées doubles : le ministère de l’administration territoriale, la Commission Électorale Nationale Indépendante avec l’appui de la MINUSMA et des forces alliées. Plusieurs d’incidents et autres difficultés ont toutefois empêché le vote de se dérouler dans 644 des 4.632 bureaux de vote du nord et du centre du pays, selon le gouvernement malien…soit 3% des bureaux de vote. Maids pas de quoi remettre en cause la sincérité et la qualité du processus, a confirmé le chef des observateurs de l’Union Africaine, l’ancien président du Bénin Yayi Boni.
Cette unanimité de la communauté internationale est aussi rare que salutaire pour ne pas être soulignée. Alors, de quoi a peur l’opposition malienne ?
Pourquoi la campagne d’intoxication de l’opposition en cours ?