L’épanouissement des filles s’avère un aspect de bonne santé de l’État. Pour ce faire, le gouvernement de la transition, par le biais du premier ministre Choguel Kokalla Maïga a procédé à la sensibilisation du public sur la protection des jeunes filles. Une initiative qui s’inscrit dans le cadre de la cérémonie du 11 octobre, journée internationale de la fille. En effet, la cérémonie de la journée internationale de la fille a été initiée par le ministre de la Promotion de la Femme, de l’Enfant et de la Famille, Coulibaly Mariam Maïga.
Protection des droits des jeunes filles : une priorité pour l’État malien
À cet effet, cette journée, est conservée à la protection des droits des jeunes filles. L’édition de cette est placée sous le thème: « Pour la Refondation du Mali : les filles comptent ». Elle inscrit la fille au cœur des démarches entreprises par les autorités et pas seulement entant que bénéficiaires, mais actrices.
La mise en exécution de cette journée reste dans le cadre d’évaluation des progrès réalisés dans le cadre de la protection des filles ainsi que l’identification des stratégies. L’élaboration de ces stratégies a pour objectif principal de permettre aux jeunes filles de s’affirmer et de saisir les différentes offres.
Par ailleurs, les efforts consentis par les autorités dans cette lutte ont été salués par le représentant de l’UNICEF Pierre N’gom. « Le taux de scolarisation des filles qui est passé de 70% en 2017 à 77% en 2022. L’autonomisation des femmes à travers l’éducation et la formation.» sont des aspects clés et des résultats significatifs que l’unicef a observé.
Cependant, plusieurs défis sont à relever à en croire le ministre. Il s’agit des défis considérables dans la protection des jeunes filles. Le faible taux d’inscription des filles au niveau du cycle fondamental, le mariage précoce, les conflits qui affectent cette couche vulnérable et bien d’autres.
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