Le 29 juillet et le 12 août derniers, pourquoi les groupes armés du Nord-Mali ont-ils accepté de sécuriser les deux tours de la présidentielle ? Et dans cette collaboration avec le pouvoir de Bamako, y a-t-il eu connivence au profit du candidat IBK ?
Ibrahim Maiga est le correspondant à Bamako de l’Institut d’études et de sécurité (ISS). Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier.
RFI