En prélude du dernier sommet extraordinaire de la CEDEAO consacré au Mali, le Col Malick, premier vice-président du CNSP, s’est rendu dans les capitales burkinabè et nigérienne. Ce voyage dans les deux pays voisins visait à expliquer les raisons de l’irruption des militaires sur la scène politique et à rassurer ses interlocuteurs de leur volonté de transmettre le pouvoir à un président démocratiquement élu.
L’émissaire malien n’a pas réussi à convaincre les chefs d’Etat rencontrés qui ont maintenu les sanctions et exigé purement et simplement le départ immédiat des militaires du pouvoir.
L’INFORMATEUR