Par contre c’était le cas avec la CEDEAO et l’UEMOA, a souligné Abdoulaye Diop.
“Nos pays ont été sanctionnés parce que la télécommande était à Paris, ou ailleurs. Je pense qu’on ne peut pas être dans des organisations qu’on ne contrôle pas”, a-t-il expliqué lors d’un panel sous le thème “AES, quel avenir pour ses États membres?”.
Dans son intervention, le ministre a souligné que les organisations régionales devaient être le reflet des besoins des pays membres.
“On ne peut pas abandonner une partie de sa souveraineté à une organisation et que cette partie de la souveraineté soit utilisée comme une arme contre nous”, a-t-il tranché.