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Législatives en commune 2 :Il a parlé, il a été entendu et compris

Rencontre avec les notabilités, les associations des femmes, les regroupements (artisans, sportifs, commerçants, producteurs maraichers…), les membres de son club de soutien…, en campagne dans sa circonscription électorale de la Commune II, le candidat Karim Keita multiplie des contacts avec des hommes et des femmes. Retour sur les moments forts d’une campagne réussie.

 

Convaincu que seul le vote massif des populations garantit la victoire d’un candidat à la quête d’un mandat, l’honorable Karim Keita est allé à la rencontre de tout le monde dans sa commune, mettant au défi ses détracteurs.

À l’issue de sa campagne que lui-même a conduite avec célérité, le constat est que tous les masques cousus contre lui à la veille de l’ouverture de la campagne sont désormais tombés.

A quelques jours de la fermeture de la campagne, les notabilités, les leaders religieux, les associations des femmes et plusieurs autres regroupements qu’il a rencontrés ont promis avec faste, de voter tous pour lui pour le réélire dès le 1er tour du scrutin.

Durant ces quelques jours de campagne, le candidat Karim Keita a écouté et entendu de vives voix les propos des habitants de sa commune, le 8 mars dernier, lors du meeting de lancement de campagne organisé par la liste RPM-MPM-ADEMA dont il est collisitier.

Dimanche 15 mars, le candidat Karim Keita arrive en campagne à N’Gomi, un village vivier électoral de la Commune II. Il est accompagné de ses colistiers, le maire Aba Niaré et d’autres personnalités. Le chef du village l’accueille à bras ouvert, juste à côté d’un meeting organisé par les jeunes du village, en soutien à sa liste.

Aider les démunis 

« Tu es chez toi ici. Ce jeune, Karim, nous l’aimons. Il a construit notre centre de santé et érigé pour nous un forage. A chaque ramadan, il nous envoie du sucre. Hommes et femmes de N’Gomi, votez pour Karim », note le chef de village, montrant du doigt le candidat, d’un ton fort.

 

« Il est le fils du Président, s’il le veut, il ne sort même pas de chez lui et a tout ce qu’il veut. Mais, il a décidé d’être député pour travailler et aider les démunis », ajoute-t-il réaffirmant qu’ils vont voter encore pour l’honorable député, Karim Keita.

« J’ai entendu ce que vous venez de dire, nous n’avons pas douté de cela. Nous sommes avec vous », précise Karim, qui promet. « Nous allons travailler davantage pour réaliser la route, ramener l’électricité et clôturer l’école » comme avait sollicité le chef de village auparavant.

Plus de 15.000 à Bozola

Après N’Gomi, le candidat regagne un autre meeting, le même jour, dans la nuit à Bozola organisé par le mouvement  »la voix du peuple ».

Devant Karim et ses colistiers, à Bozola, le coordinateur local de la campagne a fait état du nombre de cartes d’électeurs déjà retirées par ses militants qui selon lui s’élèvent à plus de 15.000. Ensuite, le porte-parole des jeunes est revenu sur ce que  l’honorable Karim Keita a fait au bénéfice de la jeunesse de Bozola, au cours de son mandat qui s’achève. A ses dires, le fils du président a aidé des jeunes (filles et garçons) à apprendre de métiers, envoyé des personnes âgées au pèlerinage et également offert des bourses d’études à certains jeunes.

‘’Là où il est là, IBK l’est aussi’’ 

Le lundi 16 mars, les forgerons du marché de Médine reçoivent le candidat au milieu de la forge. Le président de la coopérative Fentogo Sékou Samassékou avec les membres de son bureau ont renouvelé leur confiance au fils du président.

Devant la foule qui se bousculait pour se faire une place, le président Samassékou a fait savoir que ce qui les lie à Karim ne date pas de maintenant. « Nous avons les mains dans les mains depuis 2013 », précise le forgeron avoisinant la soixantaine. « Nous sommes contents de son arrivée chez nous, il est aussi chez lui, ici. Là où il est là, IBK l’est aussi », poursuit-il.

Jour suivant, mardi 17 mars, la campagne de Karim Keita s’est poursuivie à l’Hippodrome et à Quinzambougou. Ici, des responsables de Clubs sportifs, des producteurs de produits maraichers et de son Club de soutien ont reçu la visite du candidat.

Premier à recevoir le candidat Keita sur le terrain du champ hippique, le porte-parole des Clubs sportifs n’est pas allé avec le dos de la cuillère pour renouveler leur soutien à la liste RPM-MPM-ADEMA et rappeler à Karim les difficultés auxquelles ils sont confrontées.

« Nous sommes plus de 20 clubs affiliés. Nous n’avons pas de matériels ni de bureau. Nous avons besoin de soutien », souligne-t-il.

« Sauf Karim Keita aucun candidat n’est venu nous rencontrer ici dans notre champ, renchérit Broulaye Diarra, recevant le candidat à leur tour, à côté du champ hippique, avant de reconnaître que le Papa de Karim alors Premier ministre a été le seul à remettre 100 hectares à Samako aux petits producteurs de salades et autres produits maraîchers ».

Améliorer votre travail 

Estimant que les échanges sont importants entre l’élu et la population pour comprendre leurs difficultés et répondre aux mieux, l’honorable Karim Keita a dit aux producteurs de la salade ceci : « Si vous avez besoin de moi, il faut vous rendre à la permanence pour que vous conveniez avec Mamadou Togola  sur le jour de rendez-vous. Je veux ça parce que je pourrais connaître vos problèmes. A la permanence, on est face à face pour parler et voir comment améliorer votre travail ».

La campagne de proximité et de porte à porte, a débuté à Missira et Medina Coura, le jeudi 19 mars, par les salutations aux Imams, aux chefs de certaines familles et au collectif des boutiquiers de la rue 14 Alliance Chato 2013.

A 20 heures passées, le même jour, les salutations se sont poursuivies dans douze familles de la Commune. Entre autre, les familles Chérifoula, Kouroumakana, Hidjila, Kallé, Coulibaly et Kanté et Diawara de Niaréla. Ensuite, l’ancien poste de Bagadadji, la famille Zoumana Kanté de Bagadadji, l’ancien cinéma de Niaréla chez Fané, la famille Koné de N’Golonina, la famille Marley de Niaréla et enfin la famille Samba Coulibaly de Niaréla.

Dans toutes ces familles, non seulement la démarche a été appréciée mais aussi les visités ont promis de voter la liste du candidat Karim Keita pour sa réélection.

Jour suivant, vendredi 20 mars, l’équipe du candidat Karim Keita dans le respect strict des mesures de prévention du coronavirus est en campagne à l’Hippodrome, encore, à la rencontre des chefs des huit (8) grandes familles Sarakolé, dans la cour du lycée la lumière, dans la soirée, avant de se rendre dans la famille Guambi.

 

« Ce monde est plus que 50 personnes. On doit respecter la loi. Donc, nous allons diviser le groupe en deux. Les jeunes, vous partez avec vos chaises. Après la rencontre avec les vieux, nous viendrons vers vous », règlementent Mamadou Togola et le responsable d’organisation avant même l’arrivée du candidat sur les lieux de la rencontre des chefs des huit (8) grandes familles Sarakolé.

‘’Le 29 mars, avant midi, nous allons finir le travail’’

Dans la famille Guambi, le soutien renouvelé est sans équivoque. « Le 29 mars, avant midi, nous allons finir le travail. Nous ferons sortir les femmes, les jeunes et les vieux pour voter massivement Karim. Il est jeune mais il a la tête sur les épaules. Que Dieu nous montre le jour du scrutin », souhaite Ismaël Diawara, d’un ton ferme.

En somme, les assurances de vote tenues par les hommes et les femmes rencontrés par le candidat Karim Keita dans le cadre de sa campagne électorale confirment à suffisance que le jeune parlementaire est populaire dans sa circonscription.

Ousmane Morba

L’Observatoire

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