Une question de conscience au-delà de l’argent et du mieux vivre : dans 10-15-20 ans qu’est-ce que nos pauvres enfants qui ne vont plus à l’école vont devenir ? Parmi eux, il y a des fils d’enseignants, de mécaniciens, de chauffeurs, de militaires, de médecins, etc. P
ourront-ils un jour faire face à la santé de leurs parents tombés dans la maladie de la vieillesse ? Que non !!! Oui la grève est un droit, mais au-delà de l’État qui nous appartient à tous, il est temps qu’on pense à nous-mêmes et à notre propre avenir. Un enfant qui réussit est toujours la fierté de sa famille et de ses proches. Depuis 1991, l’école malienne continue d’aller en vrille, et ce n’est pas une question d’argent ni de prime, trouvons l’erreur. Nous avons tendance à minimiser les conséquences de cette situation surtout avec la politisation des revendications. Tout ceci devient révoltant à la longue. C’est devenu l’école des pauvres parce que les enfants de nos dirigeants n’étudient plus ici.
Source: Le Reporter