Les institutions concernées sont la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement, le Conseil des ministres, la Commission, la Cour de justice, le Parlement, la Banque d’investissement pour le développement de la communauté (BIDC), l’Organisation ouest-africaine de la santé, le Groupe inter-gouvernemental d’action contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme (GIABA). S’y ajoutent les agences techniques spécialisées et les structures privées notamment Ecobank.
C’est dire que cette mesure qui vient d’être prise à l’encontre du Mali aura des conséquences aux plans politique, diplomatique, financier, notamment la levée de fonds auprès de certaines institutions de financement.
Le Médiaeur Goodluck Jonathan est attendu à Bamako dans une semaine pour faire un premier point avec les autorités maliennes.
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Source : l’Indépendant