Exportant près de 100 tonnes de poissons par jour dans les années 1960, les pêcheurs ont dû mal à vivre, aujourd’hui de cette activité, selon le représentant des pécheurs de la région de Mopti.
Ces professionnels du secteur estiment qu’au-delà des conséquences du dérèglement climatique et la non-valorisation du secteur par les autorités maliennes, les activités humaines ont également une conséquence néfaste sur l’activité, notamment la pêche à la moustiquaire qui inquiète sérieusement.
Source : LE PAYS