Depuis le 18 décembre 2018, les cheminots ont entamé une grève de la faim juste après leur rencontre, un jour avant, avec les représentants du gouvernement. Le but de cette grève : réclamer le paiement de 9 mois d’arriéré de salaire à l’État.
Lors de leur rencontre avec les autorités, celles-ci leur avaient proposé le paiement de seulement deux mois. Offre qu’ont déclinée les syndicalistes qui trouvent que cette somme ne pourra même pas servir à rembourser les dettes contractées. 21 Jours de grève de la faim, beaucoup sont parmi ces travailleurs qui ont été évacués à l’hôpital, la plupart restent affaiblis pendant que le gouvernement fait l’indifférent en jouant au malin.
Source: Le Pays