Invité dans “Ça fait du bien” sur Europe 1 ce jeudi 13 mai, Issa Doumbia s’est confié sur les comportements médisants de son voisinage à ses débuts.
Les joies des problèmes de voisinage…Ce jeudi 13 mai, Issa Doumbia était l’invité de Ça fait du bien, l’émission de radio d’Anne Roumanoff diffusée sur Europe 1. L’occasion pour le comédien révélé dans le sitcom Nos chers voisins de retracer sa carrière et de revenir sur sa vie avant la notoriété. L’humoriste s’est notamment souvenu de l’attitude particulièrement désagréable de ses voisins à son égard, alors qu’il venait de s’installer à Paris : “J’habitais dans le 17ème et les gens ne me disaient pas bonjour. Je les croisais, je les regardais, je disais bonjour mais ils ne me répondaient pas. Je me disais : ‘C’est horrible’. Je viens de banlieue, j’habitais à Trappes et tous les jours avec les voisins on se disait bonjour, on se passait du sel, du poivre… C’est ça la vie ! Et j’arrive dans le 17ème, personne ne répond, personne ne me regarde, rien.” a regretté l’animateur de Show Me Your Voice qui avoue avoir observé un changement d’attitude à partir du moment où il a commencé à passer à la télévision : “Jusqu’au jour où le premier épisode de Nos chers voisins a été diffusé. Les attitudes dans mon bâtiment ont changé”, a-t-il noté avant d’ajouter : “Tout le monde me disait : ‘Bonjour, vous allez bien ?’ Du coup, je ne comprenais pas […] Ils étaient là : ‘Alors, untel est sympa ? Vous connaissez telle personne ?’ Et là, je me suis dit : ‘D’accord, il faut passer à la télé pour qu’ils nous disent bonjour’”.
Un triste constat pour celui qui n’a pas hésité à laisser un mot piquant à ses voisins lorsqu’il a déménagé : “Quand j’ai déménagé, j’ai laissé un mot disant : ‘N’attendez pas que votre prochain voisin soit connu pour lui dire bonjour’.”
Issa Doumbia victime de racisme et de grossophobie de la part d’un réalisateur
La veille, ce mercredi 12 mai, c’est dans l’émission Buzz TV de TV Mag, qu’Issa Doumbia a révélé avoir déjà été confronté à des remarques racistes et grossophobes de la part de réalisateurs avec lesquels il a collaboré : “Sur mes premières séries, j’ai eu de vrais problèmes. Il y a un réalisateur, un jour, qui m’a dit un truc scandaleux. Je ne dirai même pas son nom, je crois qu’il est décédé d’ailleurs. Mais je ne me suis pas laissé faire.” a-t-il balancé. Et de poursuivre : “Tout le plateau a entendu, tout le monde s’est dit que j’allais fermer ma gu*ule parce que j’étais tout nouveau sur le projet. Et en fait, j’ai ouvert ma gu*ule et je l’ai remis à sa place” a fait savoir celui qui refuse de laisser passer ce genre de remarques déplacées.
Source : Closermag.fr