Tristesse et désolation face à l’état des routes dans la capitale Bamako. Soit elles sont vieillissantes soit leur entretien n’est pas à hauteur de souhait. Le moins que l’on puisse dire c’est que les nids-de-poule gênent la circulation en cette période hivernale. Et dans plusieurs quartiers l’état des routes est inquiétant. Le directeur national des routes devrait mettre ses agents au travail pour le bien des usagers.
Les routes dans le district sont aujourd’hui plus vieillissantes. Les routes qui relient les différentes communes sont presque toutes dans un état de délabrement total et méritent un minimum d’entretien des services en charge des routes. Ne serait-ce que le réseau routier identifié à Bamako.
L’Etat ne s’occupe pas à en croire les services en charge des routes que des routes d’intérêt national tant à Bamako que dans le reste du pays. Il faut cependant reconnaitre que même les routes jugées d’intérêt national sont dans la plus grande vétusté.
Si les collectivités ne sont pas en mesure d’assurer l’entretien routier qu’on leur retire la gestion des routes qui leur est attribuée. Les collectivités ont toujours dit qu’elles n’ont pas les moyens pour assurer les routes au niveau des communes ou des cercles.
A chaque hivernage, il faut reconstruire les routes car elles sont mal construites et à chaque hivernage les mêmes problèmes. Pour le Malien lambda nous routes sont mal construites et les entretiens ne serviront à rien.
Nous avons tenté d’avoir le directeur national des routes Mamadou N. Kéita pour un entretien sur l’état des routes tant à l’intérieur du pays qu’à Bamako mais en vain. Nous savons que le directeur Kéita est un homme courtois et intègre mais difficile à avoir. Mais nous tenterons encore d’obtenir un entretien avec lui sur ce sujet d’intérêt public.
N. Diarra
NOTRE PRINTEMPS