Les nouvelles sont très inquiétantes quant à la situation financière de l’ex-international brésilien Ronaldinho. D’après les médias brésiliens, l’ancienne star du FC Barcelone est tout simplement ruinée.
La justice du pays a annoncé qu’elle a procédé au retrait du passeport de l’ancien catalan pour défaut de paiement d’une dette visant à faire construire une maison sur une zone protégée.
Selon UOL Esporte, le procureur général chargé de l’affaire a découvert qu’il n’avait plus que… six euros sur son compte en banque alors que la justice lui réclame deux millions
Malgré l’argent amassé au Paris Saint Germain, au FC Barcelone ou encore au Mexique, la star brésilienne serait totalement en faillite.
D’après UOL Esporte, la justice brésilienne compte également confisquer le passeport du frère de Ronaldinho pour les mêmes raisons relatives à un défaut de paiement d’une dette.
Un montant qui interroge quand on sait que Ronaldinho a joué jusqu’en 2015 et qu’il multiplie, depuis, les voyages à travers le monde pour des opérations promotionnelles avec Nike notamment, lui permettant de maintenir son train de vie confortable. La marque à la virgule vient d’ailleurs de lancer une nouvelle chaussure à son effigie.
La réalité financière de Ronaldinho a été dévoilée suite à cette dette et à ce défaut de paiement. Impossible évidemment pour lui de régler l’amende de deux millions réclamées par l’Etat qui est entré en contact avec ses derniers clubs et quelques sponsors pour connaître la destination des paiements.
Ce compte bancaire qui ne correspond pas à son style de vie puisqu’il était en voyage en Chine et au Japon pour des raisons publicitaires avant la saisie de son passeport… Nike qui vient de lancer une marque de chaussures à son effigie pourrait cependant lui rapporter gros et lui permettre de faire face à ses créances.
En plus de ses ennuis judiciaires et financiers, Ronaldinho doit composer avec de nombreuses critiques de la part de ses compatriotes pour avoir soutenu ouvertement Jair Bolsonaro, l’ex-candidat vainqueur de l’élection présidentielle.
Afrikmag