Le Gouvernement de la Transition a annoncé la fin de l’Accord pour la paix et la réconciliation issu du processus d’Alger, avec effet immédiat. C’était la semaine dernière. Le Gouvernement justifie cette décision par l’inapplicabilité absolue de cet accord signé en 2015 à Bamako. Il dénonce en outre le changement de posture de certains groupes signataires devenus des acteurs terroristes et poursuivis par la justice malienne. Quel impact de cette rupture sur les équilibres nationaux et régionaux ?