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Festi-volley : POUR CONTRIBUER AU DÉVELOPPEMENT DU VOLLEY-BALL DANS LA SOUS-RéGION

Le coup d’envoi de la 3è édition du Festival international de volley-ball (Festi-volley), Bamako 2018 a été donné, hier mardi au Palais de la culture Amadou Hampaté Ba. Organisé par l’Association sportive de volley-ball de la Commune V, en collaboration avec la Fédération malienne de volley-ball (FMV) et la Ligue de volley-ball du District de Bamako, le tournoi regroupe 6 formations féminines et masculines, venues du Mali, du Sénégal et du Bénin.

Il s’agit de Santhiaba du Sénégal, Finances du Bénin, les équipes de Gao, Ségou, des 1008 Logements et de l’AS Commune V. Les autres équipes qui étaient annoncées, à savoir ADAC Dubreka (Guinée), CBK (Guinée), ASFAG (Guinée), GAF (Gambie) et USFA (Burkina-Faso) n’ont pas fait le déplacement. L’organisation du Festival international de volley-ball a pour but de vulgariser la discipline dans la sous-région ouest-africaine. «L’objectif du Festi-volley est de contribuer au développement du volley-ball au Mali et dans la sous-région, surtout dans la Zone 2. Les joueurs de la Zone 2 ont besoin de se mesurer aux autres équipes de la sous-région. C’est dans ce cadre qu’on a voulu organiser comme Santhiaba volley-ball club de Ziguinchor au Sénégal, un tournoi qui peut regrouper les équipes des Zones 2 et 3», a indiqué le président de la commission d’organisation, Tiémoko Samaké.
Pour l’atteinte de ses objectifs, Tiémoko Samaké lance un appel à l’endroit des plus hautes autorités maliennes et sous régionales pour leur accompagnement et soutien dans le développement de la discipline. «Je lance un appel aux autorités politiques pour venir en aide au volley-ball qui fait partie des parents pauvres du sport malien», ajoutera l’ancien international, avant de conclure : «Dans les Zones 2 et 3, nous avions des joueurs très talentueux qui ont fait leur preuve sur l’échiquier international. Nous avons besoin de nos Etats pour pouvoir participer aux compétitions sous régionales. Les entreprises et les opérateurs économiques de la sous-région sont également interpellées», dira Tiémoko Samaké. Pour revenir à la compétition proprement dite, trois matches étaient au programme de la première journée. En match d’ouverture, l’AS Commune V devait affronter Santhiaba volley-ball club de Sénégal, en filles et garçons, alors que l’équipe de Gao devait se frotter aux joueurs des Finances, sacrés cette année champions du Bénin. Dans notre édition de demain, nous reviendrons sur la première journée du tournoi.
Seïbou S.
KAMISSOKO

Haltérophilie : ALy DOUMBIA S’OFFRE LE CHAMPION DU MALI

L’Association des gros bras du Mali (AGBM) a organisé une compétition d’haltérophilie et de bras de fer sportif, le jeudi 5 juillet dans la salle de basket-ball du stade du 26 Mars. L’événement était présidé par le président de l’AGBM, Kécouta Sissoko, en présence du parrain Bengal Fodé Traoré et du maire de Moribabougou, Diarra Diarra. Une cinquantaine de combattants ont participé à la compétition. La première épreuve a été remportée par Aly Doumbia «Ivo» qui a créé la sensation en battant le champion du Mali en titre, Magny Dembélé.
Au bras de fer sportif en revanche, Mamadou Sylla «l’Allemand» a fait respecter la hiérarchie en se hissant sur la plus haute marche du podium. Les deux vainqueurs ont reçu, chacun, la coquette somme d’un million de F cfa et une parcelle de terrain offerte par le maire de Moribabougou, Diarra Diarra.
Dans son allocution d’ouverture, le premier responsable de l’Association des gros bras du Mali (AGBM), Kécouta Sissoko dira que l’organisation de cette compétition entre dans le cadre de la promotion de la discipline au Mali. «Nous ne sommes pas des vagabonds ou des bandits. Le bras de fer sportif est une discipline, comme toutes les autres. Depuis quelques années, nous assistons à la création d’associations et de mouvements, au nom des «gros bras» du Mali. L’unique association constituée légalement pour défendre la cause des «gros bras», c’est l’AGBM qui a été créée en 1997», martèlera le président Kécouta Sissoko. «Je lance un appel à l’endroit des nouveaux mouvements de «gros bras», qu’ils prennent contact avec l’AGBM pour constituer une grande force, une grande coalition, pour faire face aux défis qui nous attendent, à savoir le développement de la discipline au Mali».
Membre du bureau de l’AGBM, Moussa Tounkara abondera dans le même sens. «A travers cette compétition, notre objectif est de promouvoir le bras de fer sportif, mais aussi sensibiliser les gens, notamment les pratiquants de la discipline. Le bras de fer sportif n’est pas un sport violent ou un sport de bandits. C’est un sport comme tous les autres», insistera Moussa Tounkara.

S. S. K.

 

Source: Essor

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