Depuis sa nomination au poste de ministre de l’Urbanisme et de la Politique de la Ville, Moussa Mara, est engagé à faire de nos villes un espace de prospérité et de la cohésion sociale.

La crise a  aggravé les difficultés que connaissaient nos villes. Cela s’est   traduit par  la destruction d’infrastructures et autres patrimoines, aggravant ainsi, la pauvreté urbaine des localités affectées, la dislocation des liens socioculturels séculaires, ciment de la Nation malienne forte de sa diversité ethnoculturelle, et la multiplication de zones de non droit dans la quasi-totalité de nos villes.  Du coup, l’insécurité devient une des préoccupations majeures des populations.

A cela s’ajoutent aussi d’autres problèmes dont  le ministre est Conscient. Nos villes connaissent des problèmes de divers ordres, tel que le délitement du tissu social, l’incivisme croissant, la faible capacité d’autofinancement, les insuffisances dans la gouvernance, le faible niveau d’assainissement, le manque d’infrastructures de base etc.

Le ministre de l’Urbanisme et de la politique de la ville, Moussa Mara est  convaincu, que les villes constituent une formidable opportunité de création de richesse et de développement socio-économique d’un pays. Raison pour laquelle, avec son expertise et son sérieux dans le travail, il s’engage  à faire de chacune des villes maliennes un véritable espace de prospérité et de cohésion sociale. Une préoccupation au centre du gouvernement qui est la principale raison de la création d’un département spécifique par le président de la République pour la résolution du problème.

Ainsi à travers le document de la politique de la ville, qui a été bien élaboré par le ministre Mara, et soumis à l’appréciation de l’ensemble des forces vives de la nation, il s’agira de faire de la ville malienne un espace harmonieux et de convivialité, moteur de son développement et celui de son hinterland, voire du pays tout entier.

Ce document de la politique nationale de la ville, faut-il le souligner,  a été validé par tous les décideurs.  Cette politique nationale de la ville qui est d’une importance capitale, sera conduite par l’Etat, mais mise en œuvre par tous : services étatiques, collectivités territoriales, acteurs du secteur privé avec une forte implication de la Société civile dans un même objectif commun, à savoir : rendre les villes maliennes conviviales et harmonieuses.

En tout cas, force est de reconnaitre que le ministre Mara, grâce à son sérieux dans le travail, est à pied d’œuvre four faire en sorte de prospérer nos villes en les rendant plus conviviales, facteur de cohésion sociale.

Aliou Agmour Touré