Le dialogue national inclusif a débuté hier par les phases communales, il passera par les étapes régionales avant de finir par un bouquet national. Malheureusement, il ne s’annonce pas sous de bons auspices puisque de nombreux acteurs et non des moindres comme l’URD, le principal parti d’opposition, et la Coordination des mouvements de l’Azawad pour différentes raisons.

Ce qui est loin d’être une situation favorable à des résolutions consensuelles et des solutions partagées pour une sortie de crise. On n’aura nullement raison de penser que l’on pourra s’en sortir en laissant des Maliens sur le bord de la route, comme certains tentent de nous le faire croire.

Continuons donc à négocier jusqu’au bout pour que le dialogue inclusif ne connaisse pas la même issue que la Conférence d’entente nationale en 2017.

DAK

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