Les ex-rebelles ont excellé dans la surenchère et la provocation pendant longtemps. Une situation tolérée jusqu’ici par tout le monde. Pendant que les leaders de la CMA se la coulent douce à Bamako, il était difficile, voire impossible aux autorités de fouler les pieds dans une bonne partie du Nord en particulier la ville de Kidal.
Malgré cette déviance, le gouvernement n’a rien entrepris pour contrarier les enfants gâtés de la République. Au nom de la paix, la Coordination jouit de tous les privilèges alors que sur le terrain, c’est la désolation. La CMA participe ou boude au gré de son humeur le Comité de suivi de l’accord (CSA) et d’autres structures dédiées au processus de paix. Dernier avatar du bras de fer que la CMA voulait avec le gouvernement, c’est la suspension de sa participation au CSA et au Dialogue national inclusif. Lire la suite sur aumali….
DAK
Source: l’indicateur du renouveau