La scène s’est déroulée au Canada au mois de juillet quand une femme découvre qu’elle est enceinte alors qu’elle était sous contraceptif.
Mère de huit enfants et en raison de son âge, madame x a décidé de se mettre sous contraceptif avec l’aval de son époux.
Ils consultent un médecin d’une clinique privée qui recommande « fortement » à la dame d’utiliser l’anneau vaginal Nuvaring de la société pharmaceutique Merck, puisqu’il s’agit d’un « excellent moyen de contraception ».
À la suite de ses conseils, elle abandonne la pilule anticonceptionnelle contre cet anneau vaginal fréquemment prescrit.
Deux ans après elle se rend en clinique pour mettre un nouvel anneau puisque celui en cours était en date de péremption.
Surprise, elle découvre une grossesse inopinée alors qu’elle sous contraceptif. Sous le choc, le médecin lui apprend que l’anneau « pouvait tomber en cas de relations sexuelles ou de constipation et qu’il était nécessaire de vérifier régulièrement si le contraceptif était toujours en place ».
Le médecin n’avait pas informé sa patiente au préalable des précautions à prendre avec ce moyen de contraception.
Toute énervée, la patiente a porté plainte et réclame 735 000 $ à son médecin, à sa clinique privée et au fabricant de l’anneau vaginal Nuvaring pour l’avoir mal informée dans la prise de son contraceptif.
Ces 735.000 § sont repartis comme suit. 50 000 $ en stress, 13 500 $ par année pendant 21 ans pour l’« entretien de base » de l’enfant.
Ils exigent également 450 $ par semaine pour l’embauche d’une gouvernante pendant 27 mois, ainsi que l’équivalent de 45 562 $ et 130 000 $ pour l’école privée primaire et secondaire de l’enfant.
Afrikmag