Après l’échec des négociations avec le ministère de l’Education nationale, les syndicats signataires du 15 octobre 2016 maintiennent leur mot d’ordre de grève de 312 heures. Cet énième arrêt de travail débute aujourd’hui jusqu’au 1 mars 2019 soit 13 jours.
Leurs doléances sont, entre autres, l’adoption d’un statut autonome de l’enseignant, l’harmonisation des salaires des enseignants maliens avec ceux de la sous-région, l’adoption d’une carte scolaire à l’Enseignement fondamental, secondaire et la construction d’écoles publiques
Source: l’Indépendant