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Editorial : “Qui vivit vadam gladio cadent” Celui qui vit par l’épée ira par l’épée : Une leçon à retenir par la classe politique malienne

Au lendemain du putsch force du 22 Mars 2012 une mutinerie  qui a dégénéré en putsch,  IBK fut  élu à 77% aux suffrages universels en 2013 grâce au soutien massif des religieux.

 

Ce geste de confiance placée au chef de la magistrature suprême serait un pacte pour faire sortir le Mali du gouffre dans lequel il fut plongé par le coup d’etat du 22 Mars qui a provoqué la chute des trois régions du Nord dans la main des Djihadistes  SI ce putsch avait commencé par une simple mutinerie, qui a dégénérée, ‘il y a des choses non dites concernant la personne d’IBK pour sa part dans ce putsch manqué qui lui permis de se frayer un chemin jusqu’à la magistrature suprême. Ceux qui soutiennent cette thèse affirment que IBK n’a récolte ce que  qui a semé et que quiconque vit par l’épée ira par l’épée. Que ce se soit une vérité ou pas, la plupart des maliens demandent la démission du président tandis que d’autres exigent la réparation de tous les abus de pouvoirs qui ont parsemé le chemin du président durant son deuxième mandat dont certains qualifient d’illégitime, ayant été imposé par des élections litigieuses.

La leçon que nous devons tirer de ces mésaventures au sein de la classe dirigeante durant ces 8 dernières années est que le malien est désormais décidé

a mettre fin a la mauvaise se gouvernance issue de a la crise sécuritaire qui sévit du nord au centre du pays et qu’aucun président Malien ne sera plus a l’abri de la destitution au cas il failli à son devoir de prendre le destin du pays en main, tâche qui lui a été confié par le peuple.

Henrie SAM TRAORE

Aube d’Afrique

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