Qu’est-ce que l’État attend pour traquer les esprits maléfiques qui contribuent à l’asphyxie du Mali ? Ils sont presque tous tapis dans l’ombre dans la capitale malienne en train de tisser les ficelles de l’abominable complot contre l’État. Certains en connivence avec les djihadistes d’autres, véritables têtes pensantes des différentes frondes contre les autorités dans les capitales régionales.
Les illustrations parfaites, ce sont les cas du centre précisément, le pays dogon où des cadres originaires pactisent avec le diable, c’est-à-dire des Satans personnifiés qui s’attaquent à tout, la population, les militaires, les biens de l’État… de nos jours, ils ont semé le chaos. Ils se plaisent dans les mauvais actes.
Le second cas, ce sont les acteurs qui malgré la situation fragile du pays, poussent le bas peuple, les esprits faibles, à prendre la rue et tout mettre sens dessus dessous. Ceux-ci, sont dans la dynamique de tout casser pour des desseins qu’eux seuls connaissent. Leur schéma malsain étant connu par certains esprits avertis, ces derniers se sont carrément démarqués de toutes les actions posées ces derniers temps. Car ils se reconnaissent en le Mali et sont républicains. Donc, ils restent derrière la loi, la constitution.
L’État ne doit plus tolérer les débordements. Les comportements excessifs. Tous ceux qui sont une menace grave pour la République doivent sentir un châtiment mérité.
Nous sommes dans une République, pas la jungle.
Boubacar Yalkoué