L’ancien parti au pouvoir « se cherche » sous la Transition. Une posture qui fait que plusieurs leaders et cadres sont abandonnés à leur propre sort.
Le Rassemblement Pour le Mali (RPM) continue de traverser le désert. Bien que certains barons et membres influents ne soient pas démis de leur fonction dans l’administration, l’après Ibrahim Boubacar Kéita semble compliqué. Déjà, plusieurs formations comme l’Alliance pour la Démocratie au Mali-Parti Africain pour la Solidarité et la Justice (ADEMA-PASJ) ou l’Alliance Démocratique pour la Paix (ADP-Maliba) restent des tribunes où beaucoup de Tisserands migrent. Un mouvement de mobilité qui a été suivi par l’honorable Mamadou Diarrassouba actuellement sous les feux des projecteurs.
Il a intégré le Conseil National de Transition (CNT) alors que le RPM a indiqué ne pas y siéger. Le Secrétaire à la mobilisation ne l’entend point de cette oreille et compte aller au bout de la Transition.
Au plan national, l’ancien parti présidentiel remobilise. De Kati à Sikasso en plus de la Commune I, rentrée politique et conférences de sections se multiplient.
Malgré ces mouvements obligés pour réunir les tisserands, des frustrations demeurent. Plusieurs élus et cadres (…)
BAMOÏSA
NOUVEL HORIZON