Suivez-nous sur Facebook pour ne rien rater de l'actualité malienne

Disparition de soldats : Révélations sur des actes ignobles dignes de la Gestapo

 dirpa armée mali

Des informations  véhiculées   par certains medias font état d’arrestation ou d’interpellation du Directeur général de la Gendarmerie nationale, le Colonel-major Diamou Keïta et de l’ancien Chef d’Etat-major général des armées, le Général Ibrahima Dahirou Dembélé. Il nous ait revenus que ces informations sont sans fondement. « Nous apportons un démenti formel à ces informations selon une source sécuritaire émanant de la Dirpa (voir communiqué de presse du ministère de la Défense)

 

Nous pensons sincèrement que les médias surtout nationaux doivent faire preuve de diligence dans leurs traitements. Car ces fausses rumeurs concernant la procédure judiciaire sont en train de distraire nos forces engagées dans la stabilisation et la sécurisation des localités du septentrion malien », a souligné une source sécuritaire malienne.
Selon une source judiciaire, au cours de l’audition des membres du peloton d’exécution, conduits par les sous officiers supérieurs Fousseyni Diarra et Mamadou Diarra, certains auront déclaré avoir reçu l’ordre de l’adjudant-chef Seyba Diarra promu par la suite Sous lieutenant et qui serait en fuite, l’ordre d’effectuer ces exécutions d’un autre âge. Ces derniers ont aussi déclaré que Seyba a notifié que c’est le conseiller chargé de la sécurité  du capitaine Amadou Haya Sanogo, qui lui aurait communiquer   une liste des éléments à exécuter. Ils vont plus loin jusqu’à souligner que les assassinats avaient été prémédités, car ils sont allés creuser la fosse en prélude aux exécutions aux environs de Diago, une localité située près de la ville garnison de Kati.  Les 21 victimes ont été enchainées aux poings et aux pieds, leurs yeux ont été aussi bandés.
Ils les ont placés devant la fosse avant de tirer sur eux et ensuite renfermer la fosse.
Notre interlocuteur précisera que malheureusement nombreuses  victimes occasionnées dans les feux des actions du contre coup d’état ne sont pas prises en compte par la procédure judiciaire en cours. Car c’est fait au cours d’action militaire, mais que c’est le fait qu’on ait fait des prisonniers qui ont été exécutés par la suite, qui fait l’objet de la procédure actuelle enclenchée d’ailleurs par les parents des victimes.
Comme pour reprendre le slogan, « Trop, c’est trop », ces actes ignobles dignes de la Gestapo s’accommodent bien avec les principes édictés par le mouvement porteur dudit slogan.

 

Source: Autre presse

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *

Suivez-nous sur Facebook pour ne rien rater de l'actualité malienne
Ecoutez les radios du Mali sur vos mobiles et tablettes
ORTM en direct Finance