Le document précise que les femmes et les enfants sont les principales victimes. Pour faire face au phénomène, les associations de droit de l’Homme préconisent « l’application stricte » des textes ratifiés. Ils demandent également l’implication de la société civile.
Mouhamed El Bachir Sangaré est le chargé des affaires juridiques à Amnesty international Mali.
Source: studiotamani