La révélation a été faite par ACLED (Armed Conflict Location & Event Data Project), une organisation non gouvernementale spécialisée dans la collecte, l’analyse et la cartographie des données de conflit.
Selon cette organisation, malgré la propagation du COVID-19, l’intensité des violences armées au Mali n’a pas baissé d’un cran. Parmi les victimes qui en paient le plus lourd tribut figurent les civils, essentiellement dans les régions dites du Centre.
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Source : l’Indépendant