Et de quatre ! Après la Gambie et les Iles Comores, la République de Guinée et la République du Gabon ont inauguré, le 17 janvier 2020, leur Consulat Général à Dakhla et Laâyoune, villes sahariennes marocaines qui constituent un trait d’union entre le Maroc et sa profondeur africaine.
L’inauguration de ces nouvelles représentations diplomatiques se sont déroulées en présence des Chefs de la diplomatie marocaine, guinéenne et gabonaise démontrant, une nouvelle fois, la dynamique que connaissent les Régions marocaines de Dakhla-Oued Eddahab et Laâyoune-Sakia El Hamra.
N’en déplaise à l’Algérie et à ses vassaux polisariens, il est attendu que la République Centrafricaine, prennent une initiative similaire très prochainement. Ces ouvertures de Consulats dans les Provinces Sahariennes marocaines sont conformes à la position constante de ces pays africains sur la question du Sahara marocain.
Donc, six pays viennent d’ouvrir un Consulat Général dans les Provinces sahariennes marocaines si on inclut le Sénégal et la Côte d’Ivoire qui ont ouvert, pour l’heure, leur Consulat Honoraire dans la ville de Laâyoune. Le chiffre de 07 pays devrait être atteint incessamment sous peu avec l’ouverture d’une nouvelle chancellerie diplomatique, à savoir celle de la République Centrafricaine.
Un événement qui n’est point passé inaperçu dans les camps de la honte de Tindouf et auprès des voisins marocains de l’Est, habitués à hurler dans tous les sens, lors de l’ouverture de chaque nouvelle représentation diplomatique dans cette région du Royaume du Maroc.
En outre, il est à rappeler que le Maroc mène au sein de l’Union Africaine une vaste offensive contre l’escroquerie de la pseudo RASD qui n’a ni territoire, ni peuple, ni souveraineté et qui s’adonne allègrement au terrorisme, au banditisme, au trafic d’êtres humains, au trafic d’armes et au trafic de drogues dures, comme la cocaïne, dans la zone sahélo-saharienne et ce, bien entendu, avec l’aval bienveillant de ses parrains algériens.
En somme, une entité chimérique créée de toute pièce par le régime militaire algérien pour tenter de déstabiliser le Maroc et les Etats de la zone sahélo-saharienne afin de faire main basse sur les richesses minières et côtières de ces pays pour s’enrichir.
Une nouvelle ouverture diplomatique au Sahara marocain qui inflige aux dirigeants algériens une monumentale gifle tout en renvoyant auprès de leur maître attitré le polisario et qui conforte l’intégrité territoriale du Maroc sur les plans africain et international.
Une dynamique diplomatique initiée par le Roi du Maroc qui ne cesse d’asphyxier le polisario sur ses terrains de prédilection, achetés à coup de pétrodollars sur le dos du peuple algérien depuis des décennies.
Il est clair que les pays africains se détachent de plus en plus de cette institution qu’est l’Union Africaine qui n’arrive point à chasser cette entité fantoche qu’est le polisario qui tente de survivre à l’internationale en organisant des pseudo congrès dans la zone tampon du Sahara marocain en violation des Résolutions du Conseil de Sécurité de l’ONU.
L’ouverture de ces représentations diplomatiques constitue un levier pour le développement des échanges commerciaux et économiques entre le Maroc et ces pays tant il est vrai que ces Consulats joueront un rôle important dans le renforcement des relations entre le Royaume du Maroc et son ancrage africain, surtout que ces villes abritent désormais de grands événements continentaux.
N’en déplaise au régime algérien et à ses quelques affidés avides de pétrodollars, le Maroc a recouvert la plénitude de sa souveraineté sur toutes les régions de ses provinces du Sud et le caractère résiduel du polisario ne fait plus l’ombre d’un doute surtout que son principal soutien, le régime algérien, est esseulé tant sur le plan interne qu’externe.
Pour rappel, de nombreux pays manifestent leur vif intérêt pour ouvrir des représentations diplomatiques dans les Provinces du Sud du Maroc afin d’exprimer leur total soutien à la marocanité de son Sahara et c’est pourquoi les autorités algériennes et leur pantin polisarien, accompagnés de leurs soutiens sordides, dansent à « la queuleuleu » avec frénésie vers une sortie macabre.
Farid Mnebhi